La revue PetMarket No 263 consacre son dossier au segment Hygiène et soins.

Pour le chien, ce segment représente 373 millions €. Ce marché comprend les APE (antiparasitaires externes) avec 80 % du CA, les shampooings, parfums, lingettes et lotions pour les yeux ou oreilles. Les APE se présentent sous 3 formes : les insecticides (tuent les parasites), les insectifuges (repoussent les parasites) et les traitements de l'environnement de l'animal.

Pour le chat, le segment est de 437 millions €, avec 54% pour la litière et 28% pour les APE.

Avec les produits connectés, désormais nous pouvons parler de "e-santé" car les produits permettent de connaître l'activité de l'animal, et d'en déduire son état de santé.

A lire dans PetMarket 263 page 14, au CDI...

En Hypermarché, il y a en moyenne 540 références en aliments chiens et chats. La tendance est aux aliments dits "naturels". Aux USA, ils représentent 58% du CA Pet Food, 38% en Angleterre, et seulement 5% en France ! Les termes "Naturel" ou "Nature" ne sont pas définis par la réglementation française pour le Pet Food. Les fabricants mettent l'accent sur l'absence d'additifs chimiques, de colorants, d'arômes artificiels...

Une autre tendance qui apparaît, c'est l'alimentation BARF (Bones and raw food) qui est une nourriture à base d'os et de viande crue. Attention, cette alimentation doit être associée avec des légumes et des produits riches en vitamines. Demain, la gamelle sera connectée...

Dossier à lire dans PetMarket No 262 page 16, au CDI.

La revue PetMarket No 261 a consacré son dossier au commerce animalier français. il explique son évolution depuis la création des marchands grainiers en 1950. Le dossier explique le développement des jardineries et des magasins de bricolage, ainsi que celui des LISA en zone rurale. il raconte la création de l'hyper en 1963, puis sa déclinaison en supermarchés. Depuis, l'hypermarché a décliné au profit du Hard Discount. Actuellement, ce Hard Discount mute en "Smart Discount". Le e-commerce oblige les enseignes a créé des Drives (aujourd'hui 4025 drives en France). Les évolutions de ces différents concepts expliquent les changements dans l'offre de produits animaliers (développement des MDD, montée en gamme...).

A lire dans PetMarket 261 page 14.

Le dossier de la revue Animal Distribution 235 est consacré aux Oiseaux et Petits mammifères.

Le marché Petits mammifères (150 millions € en 2015) stagne. Le marché vivant recule de 1%. La baisse atteind -4% pour les hamsters, gerbilles, octodons, cochons d'inde et cobayes. Seul le lapin connaît une progression (il assure 60 % des ventes). Pour l'inerte, l'alimentation représente 58 % du CA, avec une baisse de 2%. Les fournisseurs misent sur le haut de gamme (on dit que le marché se premiumise) et la naturalité. Laroy Group vient de lancer sa gamme d'aliments PUUR , positionnée haut de gamme sous la marque Witte Molen. Les habitats pour rongeurs régressent de 4%, les jouets font - 2%. Par contre, l'hygiène et soins augmentent de 1,5%. Pour les litières (+ 1,5%) les produits plus naturels séduisent, comme la litière coton, le chanvre.

Le marché Oiseaux (82 millions €) est dynamisé par les oiseaux élevés à la main. Le consommateur veut un peu de relation avec son oiseau, c'est pourquoi il se tourne plus vers les psittacidés. Ce sont les seuls oiseaux à progresser (+5%). Des fournisseurs en vivant se dirigent vers leurs propres élevages (ex : Aniplumes). Les aliments (+2%) et friandises (-1%) représentent plus de la moitié du CA (50 millions € pour les oiseaux en cage). Là aussi, les consommateurs veulent des produits plus naturels. Les fournisseurs indiquent la traçabilité, la qualité des matières premières, le QR code sur les emballages. La segmentation augmente pour les aliments, ainsi Vitakraft indiquent l'origine géographique des oiseaux sur le packaging : gamme "Continentale" avec les références African, Amazonian, Australian... L'aspect nature concerne aussi les volières avec des couleurs vert olive ou gris anthracite. Pour les jouets, Agrobiothers lance une gamme déclinée selon l'utilité : User le bec, Manipuler avec les pattes, Faire de l'exercice...

A lire dans Animal Distribution 235 page 23, au CDI.

La revue PetMarket No 260 profite du salon international de l'animalerie, INTERZOO (mai 2016 à Nuremberg), pour faire le point sur le marché en Europe. L'article présente les chiffres sur les populations animales dans les différents pays, les spécificités de certains pays, les chiffres d'affaires, les principales enseignes (Fressnapf avec 1386 magasins, Pets at Home plus de 400 magasins).

En Europe, il y a 650 entreprises du Pet Food (avec 80 000 emplois). L'Allemagne compte de grands noms de l'animalerie : Vitakraft, Trixie, Eheim, JBL, Sera, Dennerle, Tunze, Juwel.

A lire dans PetMarket 260, pour avoir tous les détails, au CDI.

La revue PetMarket 259 consacre son dossier aux rayons Oiseaux et Rongeurs.

Pour les petits mammifères le taux de possession est de 5,3 % (% de foyers qui possèdent au moins un rongeur). La population de rongeurs en France est de 2,8 millions, le CA est de 150 millions €. Des chiffres en baisse qui peuvent s'expliquer par des possesseurs jeunes dont les préoccupations sont plutôt numériques. Le lapin nain représente 60 % des ventes de vivant.

Pour les oiseaux exotiques, le taux de possession est de 3,2 %, avec une population de 5,7 millions et un CA de 82 millions €. Chiffres aussi en baisse. Les causes de cette baisse : le non renouvellement des possesseurs (plutôt âgés) et les alertes à la grippe aviaire. Le rayon vivant est dynamisé par les EAM (oiseaux élevés à la main).

Les fournisseurs font preuve d'innovation pour ces deux rayons. Exemples : les nouvelles friandises "Crunchy Pearls" de Zolux, les "Kräcker" de Vitakraft. Pour les aliments : l'aliment complet pour perroquets "Tropican" marque Hari de Hagen, "Complete" (rongeurs) ou "Prestige" (oiseaux) de Versele Laga, "Terra" de Vadigran.

Pour l'inerte rongeurs et oiseaux, ce sont les jardineries qui sont le circuit leader avec 38% et 32% des ventes totales (devant les GSA, 34% et 30%).

A lire dans PetMarket 259 page 16. Photo : Cordonbleu à joues rouges.

En France, le marché des friandises pour chiens représente 151 millions € (en 2015) avec une progression de +8%. Celui du chat est de 49 millions € en hausse de 6%. Aux regards des chiffres allemands et britanniques, le marché français a un réel potentiel de croissance. En Allemagne, les friandises pour chiens constituent un marché supérieur aux aliments secs ! En Angleterre, les friandises pour chats représentent 100 millions € pour 7,5 millions de chats (contre 49 millions € et 12,5 millions de chats en France).

Le segment des friandises comporte 3 catégories : les biscuits (riches en céréales), les snacks (riches en viande), et les friandises fonctionnelles (pour une bonne haleine, lutte contre le tartre). Avec la tendance "sans céréales" (grain free) ce sont les deux dernières catégories qui se développent.

Les friandises existent ausi pour les rongeurs, les oiseaux, les chevaux et les poules.

Plus de détails dans le dossier du PetMarket 258 page 16, au CDI.

Le hors série "Pense-bête" 2016/2017 est arrivé au CDI. Comme tous les ans, ce hors série de la revue Animal Distribution, présente les chiffres clés du marché de l'animal de compagnie. Des chiffres sur les différents rayons, sur les circuits de distribution, des informations sur les fournisseurs en inerte, en vivant, des adresses... Un outil indispensable à ceux qui veulent mieux connaître le marché.

Dans son No 234 Animal Distribution présente un dossier spécial sur le marché aquariophilie.

Avec un CA de 204 millions € en baisse de 4 % (en 2015) , le marché trouve une dynamique grâce à des fournisseurs qui innovent. Pour les fournisseurs en vivant (La pisciculture Haegel, Anthias) l'innovation se trouve dans de nouveaux présentoirs "Bettas" pour les magasins. Les fournisseurs en plantes proposent désormais des plantes sous blisters (Songrow) , en godets (Challet-Hérault), et des plantes in vitro (Dennerle). Les fabricants d'aquarium innovent avec les LED et des effets lumineux sur commande (aquarium connecté). A noter le système de nettoyage automatique d'aquarium RELAX de VIREA (voir vidéo ci-dessous).

Le dossier du PetMarket 257 est consacré à l'aquariophilie. Une marché de 204 millions € en 2015, en baisse de 4 %. Les jardineries représentent 60 % de ce marché, devant les animaleries (14 %). Les ventes en ligne, avec 6 % de part de marché, dépassent les GSA. Pour booster ce marché, les innovations sont les bienvenues. Celles-ci sont : l'éclairage LED, les aquariums désormais connectés... Le LED équipe tous les types de bacs. Avantages du LED : financier, écologique, durée de vie multipliée par 4, qualité de la lumière.

A voir en photos : l'éclairage LED en forme de fleur pour bassin, les décors d'aquarium pour enfants de ZOLUX... Au CDI.